Le 29 avril 2015, la capsule Shepard, de la société Blue Origin, s’est détachée et est redescendue sur Terre sans dysfonctionnement à l’aide de ses trois parachutes - DR : Blue Origin
Après avoir atteint une altitude de 307 000 pieds, la capsule Shepard, de la société Blue Origin, s’est détachée et est redescendue sur Terre sans dysfonctionnement à l’aide de ses trois parachutes.
Si ce vol a donc été un succès au niveau du lancement et du retour en douceur de la capsule, cela n’a pas été le cas pour de la fusée qui, suite à une défaillance au sein de son système hydraulique, s’est écrasée, alors qu’elle est prévue pour être réutilisée, grâce à un retour freiné par les rétrofusées.
Notons que décidément les lanceurs demeurent un ou plutôt le problème, puisque, si la capsule non habitée Dragon, de la société américaine SpaceX, s'est bien amarrée à la Station spatiale internationale, le vendredi 17 avril 2015, avec du ravitaillement (dont une machine à expresso) pour les astronautes à bord de l'ISS, Space X n’est toujours pas arrivé à récupérer le premier étage de son lanceur Falcon.
Si ce vol a donc été un succès au niveau du lancement et du retour en douceur de la capsule, cela n’a pas été le cas pour de la fusée qui, suite à une défaillance au sein de son système hydraulique, s’est écrasée, alors qu’elle est prévue pour être réutilisée, grâce à un retour freiné par les rétrofusées.
Notons que décidément les lanceurs demeurent un ou plutôt le problème, puisque, si la capsule non habitée Dragon, de la société américaine SpaceX, s'est bien amarrée à la Station spatiale internationale, le vendredi 17 avril 2015, avec du ravitaillement (dont une machine à expresso) pour les astronautes à bord de l'ISS, Space X n’est toujours pas arrivé à récupérer le premier étage de son lanceur Falcon.
Les vols commerciaux de Blue Origin sans cesse reportés
Le communiqué de presse publié par Blue Origin, indique que « toute personne à bord aurait eu un voyage agréable sans encombres ».
Jeff Bezos confirme ainsi qu’il veut suivre le même chemin qu’Elon Musk, CEO de Space X et de Richard Branson, le PDG de Virgin qui tous deux se sont lancés dans l’aventure du tourisme spatial.
Jeff Bezos devrait prochainement proposer le lancement d’un vaisseau encore plus puissant et plus imposant.
Son objectif est d’arriver à envoyer sur orbite des vaisseaux réutilisables et de lui permettre ainsi de réellement se lancer sur le marché.
Rappelons cependant qu’au départ, Blue Origin promettait un vol commercial en 2010. En 2008, le premier vol habité était décalé à 2012.
Il a ensuite été question de 2015... pour finalement promettre 2017.
Jeff Bezos confirme ainsi qu’il veut suivre le même chemin qu’Elon Musk, CEO de Space X et de Richard Branson, le PDG de Virgin qui tous deux se sont lancés dans l’aventure du tourisme spatial.
Jeff Bezos devrait prochainement proposer le lancement d’un vaisseau encore plus puissant et plus imposant.
Son objectif est d’arriver à envoyer sur orbite des vaisseaux réutilisables et de lui permettre ainsi de réellement se lancer sur le marché.
Rappelons cependant qu’au départ, Blue Origin promettait un vol commercial en 2010. En 2008, le premier vol habité était décalé à 2012.
Il a ensuite été question de 2015... pour finalement promettre 2017.
Un projet créé en l'an 2000
Un bref rappel sur cette société Blue Origin, créée en 2000 par Jeff Bezos, le fondateur d’Amazon.com en 1994, à Seattle.
Au départ l’objectif avoué était de réaliser, dès 2010, cinquante-deux lancements annuels, soit ni plus ni moins qu’un lancement par semaine !
Pour cela Jeff Bezos s’était entouré de spécialistes en aérospatiale qui avaient collaboré dans le passé à l’élaboration de missiles pour la défense américaine.
Pour ses équipes de recherches et de développement, la société dispose de locaux de près de 30 000 m2 dans la banlieue de Seattle. La base de lancement est située sur un terrain désertique de 116 000 hectares près de la petite ville de Van Horn, dans l’ouest du Texas.
Rappelons que le projet de Blue Origin est resté secret pendant six ans, jusqu’au 13 novembre 2006, date du premier vol d’essai réussi de sa capsule.
Pour des raisons de discrétion, (une constante chez Jeff Bezos), le tir a été effectué depuis le site texan situé en plein désert.
La capsule dénommée Goddard (haute de 15 mètres et large de 7 mètres est constituée de deux modules distincts : un module de propulsion et un module habitable à bord duquel un équipage de trois personnes peut prendre place), s’est élevée verticalement jusqu’à une altitude de 87 mètres avant de revenir se poser en douceur.
Au départ l’objectif avoué était de réaliser, dès 2010, cinquante-deux lancements annuels, soit ni plus ni moins qu’un lancement par semaine !
Pour cela Jeff Bezos s’était entouré de spécialistes en aérospatiale qui avaient collaboré dans le passé à l’élaboration de missiles pour la défense américaine.
Pour ses équipes de recherches et de développement, la société dispose de locaux de près de 30 000 m2 dans la banlieue de Seattle. La base de lancement est située sur un terrain désertique de 116 000 hectares près de la petite ville de Van Horn, dans l’ouest du Texas.
Rappelons que le projet de Blue Origin est resté secret pendant six ans, jusqu’au 13 novembre 2006, date du premier vol d’essai réussi de sa capsule.
Pour des raisons de discrétion, (une constante chez Jeff Bezos), le tir a été effectué depuis le site texan situé en plein désert.
La capsule dénommée Goddard (haute de 15 mètres et large de 7 mètres est constituée de deux modules distincts : un module de propulsion et un module habitable à bord duquel un équipage de trois personnes peut prendre place), s’est élevée verticalement jusqu’à une altitude de 87 mètres avant de revenir se poser en douceur.
Le secret demeure sur un certain nombre d’aspects
Le projet Blue Origin imite un peu le DC-X, une fusée testée au début des années 1990 sur laquelle la NASA espérait, à travers un design innovant, aboutir à la réalisation d’un plus grand vaisseau.
Malheureusement, lors du huitième vol, le prototype s’était abîmé à l’atterrissage, mettant ainsi fin à toute poursuite des essais.
De nombreux experts s’accordent pour dire que les fusées à décollage vertical - l’option choisie par Blue Origin - offrent une trajectoire très rentable en matière de consommation par rapport aux autres véhicules.
Jeff Bezos reste encore secret sur un certain nombre d’aspects techniques ou commerciaux.
Quand on veut en savoir plus, le crédo de Blue Origin est : « Nous travaillons patiemment et pas à pas pour abaisser le coût d’un vol spatial afin de le rendre accessible au plus grand nombre et permettre aux hommes de poursuivre l’exploration du système solaire ».
Malheureusement, lors du huitième vol, le prototype s’était abîmé à l’atterrissage, mettant ainsi fin à toute poursuite des essais.
De nombreux experts s’accordent pour dire que les fusées à décollage vertical - l’option choisie par Blue Origin - offrent une trajectoire très rentable en matière de consommation par rapport aux autres véhicules.
Jeff Bezos reste encore secret sur un certain nombre d’aspects techniques ou commerciaux.
Quand on veut en savoir plus, le crédo de Blue Origin est : « Nous travaillons patiemment et pas à pas pour abaisser le coût d’un vol spatial afin de le rendre accessible au plus grand nombre et permettre aux hommes de poursuivre l’exploration du système solaire ».
Michel MESSAGER est directeur associé de Consul Tours, société de conseil travaillant pour une clientèle privée et institutionnelle dans les secteurs du tourisme.
Après avoir occupé les postes de Secrétaire Général du Tourisme Français, puis de Directeur Commercial de Touropa et Directeur du pôle tourisme du Groupe Verney , il rejoint en 1997 l’APST (Association Professionnelle de Solidarité du Tourisme) en qualité de Secrétaire Général jusqu’à fin 2007, période à laquelle, encore jeune retraité, il décide de réactiver sa société de Conseils créée au début des années 90.
Nommé par le Ministre chargé du tourisme en 2005, puis en 2012, il siège au Conseil National du Tourisme en qualité de Président Délégué de la section économie touristique et fonde avec plusieurs personnalités du tourisme l’AFST (Association Française des Seniors du Tourisme) dont il assure la Présidence.
Il est l’auteur d’un livre sur le Tourisme Spatial publié à la documentation française et de plusieurs articles sur le sujet.
Il est considéré actuellement comme un de spécialistes en la matière. Il intervient fréquemment sur ce sujet à la radio et à la télévision, ainsi qu’au travers de conférences dans de nombreux pays, notamment au Canada où il réside quelques mois par an.
Après avoir occupé les postes de Secrétaire Général du Tourisme Français, puis de Directeur Commercial de Touropa et Directeur du pôle tourisme du Groupe Verney , il rejoint en 1997 l’APST (Association Professionnelle de Solidarité du Tourisme) en qualité de Secrétaire Général jusqu’à fin 2007, période à laquelle, encore jeune retraité, il décide de réactiver sa société de Conseils créée au début des années 90.
Nommé par le Ministre chargé du tourisme en 2005, puis en 2012, il siège au Conseil National du Tourisme en qualité de Président Délégué de la section économie touristique et fonde avec plusieurs personnalités du tourisme l’AFST (Association Française des Seniors du Tourisme) dont il assure la Présidence.
Il est l’auteur d’un livre sur le Tourisme Spatial publié à la documentation française et de plusieurs articles sur le sujet.
Il est considéré actuellement comme un de spécialistes en la matière. Il intervient fréquemment sur ce sujet à la radio et à la télévision, ainsi qu’au travers de conférences dans de nombreux pays, notamment au Canada où il réside quelques mois par an.